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dimanche 24 février 2013

Tweet Tweet Twaaat

J'ai un compte Twitter depuis un bail. Et je l'utilise tellement souvent que j'en avais oublié le mot de passe. Cette semaine, j'ai donc décidé de relancer la chose et de voir par mes nyeux propres si ce brol est d'une quelconque utilité. Je vous rassure, je ne vais pas commencer à poster des "bonjour, je me suis levée et il fait beau". Encore que ça a l'air tellement viral cette propension à étaler sa vie en une phrase que d'ici à ce que je m'en rende compte, je vous tiendrai au courant de l'achat de mon PQ.

J'ai aussi "hashtaggé" mes photos Instagram et depuis, j'ai une chiée de gens  que je ne connais ni d’Ève ni d'Adam qui aiment mes photos. Internet s'est vraiment fantastique pour connecter des gens qui s'emmerdent. 



Bref, si ça vous botte de me "follow" sur ces deux applications, y a les liens dans le menu à droite (un p'tit tweet zombie et le logo Instagram), ou ci-dessous:



Sur ce, bon dimanche neigeux!

samedi 23 février 2013

Perfect Saturday

Cela faisait longtemps que je n'avais pas déambulé dans les rues de ma ville à la mode Carrie Bradshaw, les Manolo Blanhik aux talons de 10cm, le Chanel et environ 75kg en moins of course. Comme je devais aller faire une fameuse recharge de miel à la Maison du Miel, j'avais décidé d'en profiter pour me balader un brin et prendre Poupouille avec moi vu qu'elle adore la ville.

Alors que je me promenais à mon aise sur la Grand'Place, je me suis demandée ce que les touristes venant pour la première fois à Bruxelles doivent ressentir en foulant les pavés polis de la plus belle place du monde. Parfois, j'essaye de me mettre dans leur peau et de regarder Bruxelles-ma-Belle d'un oeil vierge et de jouer à la vacancière asiat' qui débarque (le chien en bonus). Limite je feins dans ma tête de ne pas parler français. Puis je me dis que je suis vraiment tarée.

Visite en ville oblige, je me suis régalée d'un hot dog de chez Hopdog (merci Ness pour le tip), puis, comme j'ai un moule à gaufre FriFri depuis peu et que je suis à la recherche de la recette des gaufres chaudes vendues rue Neuve par Belgaufra, j'ai sacrifié le bien-être de mon estomac et de mon système cardiovasculaire en mangeant deux gaufres chaudes pas trop cuites comme je les aime. La première pour tenter de "goûter" les ingrédients, la seconde parce que la première n'était en fait pas terrible et que je devais réitérer l'expérience chez un autre vendeur. Quel sacrifice et quelle dévotion n'est-ce pas. 

J'ai terminé la promenade par un grand latte au sirop de noisette de Starbuck, et ce afin de me rappeler que leur café est vraiment nase comparé à celui que je fais à la maison avec ma French Press Bodum et du café bio équitable (bobo moi? Pas du tout...). Starbuck, hormis leur aura de dépaysement américain et leur sigle qu'il fait bon d'arborer une mug à la main, c'est vraiment pas terrible en fait, sauf quand on est en vacances aux States ou au Canada, là ça poutre grave!

Une fois rentrée à la maison, j'ai enveloppé la Pouille dans une couette afin qu'elle se remette de toutes ces émotions, je me suis fait un thé roiboos épicé et j'ai allumé ma bougie Dyptique de Noël 2011 pour me plonger dans un nuage de douceur. C'était un cool samedi relaxant. 



D'habitude, mes samedi se ressemblent tous. En gros: mis à part le ménage qui me prend 3-4 heures parce que je suis Monk, j'en fous pas une, et j'ai l'impression que le temps me file entre les doigts. Je devrais plutôt me botter le fessier et bouger afin d'avoir l'impression d'avoir une journée plus longue et plus remplie, conseil que je devrai par ailleurs appliquer à ma vie en général. Les Big 4-0 étant à portée de mains, je me dis que je devrais réfléchir à ce que je voudrais faire de ces 20 à sans doute 30 années de carrière professionnelle qui m'attendent avant la retraite, parce qu'honnêtement, je ne me vois pas rester dans mon job actuel sans péter une durite dans un futur proche. 

J'envisage d'ailleurs d'acheter un local commercial et de m'installer comme antiquaire comme Jennifer Love Hewitt dans Ghost Whisperer. Ca a l'air cool comme job, elle se casse tout le temps de son mag' pour aller débiter à des gens qu'elle voit les morts qui veulent leur dire qu'ils ont oublier de jeter un sauciflard qui est caché sous un meuble et qui pourri lentement en dégageant une odeur de fermentation... Ouais, ça a a l'air cool.

vendredi 22 février 2013

Deauty Box - février 2013

Protection! Tel est le maître-mot de la boîte de ce mois-ci. Que cachait-elle donc? Des gants en latex? Un K-Way? Un bouclier de viking? Des haches miniatures ani-zack peut-être?? Faudrait peut-être lancer une boîte zombie tiens...

Rien de tout cela, la preuve en image:



Quatre produits. C'est le contenu minimum. Deauty nous ayant habituées à 5-6 goodies, du coup ça fait un peu boîte des Misérables (mais je vous rassure, je ne vais pas chanter "I dreamed a dream") bien que ce soit la norme. On a comme un goût de trop peu en main, mais c'est parce qu'on est des sales gamins.

Qu'ai-je donc reçu en ce mois de février bien gelé? (bon OK, j'arrête de bouffer un sandwich Martino en écrivant le compte-rendu de Deauty en même temps, ça me réussi pas ces rimes à la noix. Argh!!).

L'Oréal Mythic Oil Shampooing
Sur le coup, j'ai vraiment cru qu'on se foutait de nos gueules, vu que celles qui ont eu la chance de recevoir la première boîte Deauty ont eu la L'Oréal Mythic Oil version huile. Puis je me suis rendue compte que c'était un shampooing full size pour rendre les crins luisants comme les corps des candidats à Mister Universe. Puis je me suis re-rendue compte qu'on avait ENCORE reçu un truc pour tifs. *Soupire*

Je suis partagée: d'un côté j'aimerai vraiment qu'on reçoive autre chose que des produits pour cheveux. On en a reçu dans chaques boîtes jusqu'à présent et quite à recevoir un produit full size, cela aurait été nettement plus intéressant de recevoir une nouveauté au lieu d'un nième shampooing.

D'un autre côté, je suis contente parce que depuis ma première boîte Deauty contenant cette petite merveille qu'est l'huile Shu Uemura, je prête un peu plus attention à mes poils de tête et j'ai découvert qu'ils pouvaient briller de 1.000 feux. Et vu que je suis une branque et que j'ai réussi à bloquer le flacon-pompe en mode "ouvert" (ça promet pour le retour à la maison) et que je me suis foutu du shampooing plein la main, je peux dire qu'il sent vachement bon et a de fait une texture assez "riche" vu la présence d'huile d'argan et de graine de coton.


Eucerin Gel Lavant pH5
En format de voyage, ce petit gel est sans paraben et sans savon (youpi youpi) et pour peau sensible (youpi youpi bis) et a une agréable odeur de propre, et j'ai accessoirement aussi réussi à m'en foutre plein les mains. Il rejoindra ses petits camarades des boîtes Deauty précédentes (le gel Bee Nature et celui de l'Occitane) dans le grand canyon de mon sac de sport oublié de tous.


Qui c'est qu'est dans le sac-à-vomi? C'est Eurceri(n)!

 
L'Oréal Super Liner Blackbuster
Un eyeliner en format feutre full size. Deauty nous avait indiqué qu'il y aurait du maquillage dans les boîtes de février et mars. J'avoue que je m'attendais à autre chose qu'un eyeliner, surtout que vu le packaging de celui-ci, j'ai cru que c'était du mascara et que j'ai eu un mal de chien à retenir l'ours en moi pour ne pas exploser dans un rugissement rageur et vengeur. J'aurais préféré recevoir un rouge à lèvre ou un gloss, mais comme je n'ai pas d'eyeliner, ça me donnera l'occasion de tester celui-là, malgré son allure franchement cheap.

Biotherm Biomains
Sur le coup, je me suis dit "Wohaaa! Un gel qui va rendre mes mains bioniques! Ca c'est de la protection!". Puis je me suis rappelée que les Big 4-0 n'étaient plus très loin et que je devrai peut-être commencer à arrêter de délirer. Puis je m'en suis mis une noix sur le dos de la main et j'ai fais comme si une armure venait recevourir ma mimine en faisant des bruits de bouche débiles. On repassera pour la maturité.

Le produit (format voyage) a une teinte légèrement rosée et une odeur que je qualifierai de classique qui me fait penser à ma douce Mamy. C'est un soin jeunesse anti-désséchant et fortifiant ongle, qui a direct rejoint ma magnifique mug au bureau contenant 2 tubes de crèmes pour les paluches, une crème anti-rougeur pour ma tronche et l'échantillon Kiehl's Ultra Bukkake de la Deauty Box de novembre 2012 en cas de grave crise de momification.


L'"extra" de février est une sorte de cadre en carton blanc que l'on peut convertir en cadre photo avec le couvercle de la boîte et un sticker. Un DIY du pauvre.

Conclusion

Je suis dubitative. J'aime bien cette boîte et en même temps je la trouve assez décevante.

Je l'aime bien parce qu'il y a des produits sympa dedans l'air de rien et que je pourrai tous les utiliser. Mais je suis déçue parce que j'estime qu'il n'y a pas de vraies découvertes. On a deux produits L'Oréal alors que cette marque est hyper connue et abordable, dont à nouveau un soin capillaire et un eyeliner qui, de mon avis, ne paye pas de mine.

Je pense que la boîte de février sera ma première déception, j'espère que les suivantes relèvront un peu le niveau.

Feedback de la Deauty box de janvier et de décembre

J'ai enfin testé le shampooing sec Klorane de la Deauty Box de décembre: il marche de fait assez bien mais à condition que mes cheveux ne soient pas hyper gras (après 3 jours max on va dire, mais j'ai des cheveux très gras). Je l'ai aussi essayé deux fois de suite à un jour d'intervalle: ça n'a pas fonctionné. Mes cheveux sont même devenu ternes. Bref, c'est un petit truc sympatique mais à utiliser en appoint uniquement. J'ai aussi acheté le parfum Acqua Di Gio Essenza à Maguth, il sent vraiment très bon et a une petite note sucrée drôlement agréable que l'Acqua Di Gio classique n'a pas (d'ailleurs je m'étais trompetée, c'est le classique que mettait Maguth avant, mais on préfère Essenza tous les deux).

J'avais déjà testé les produits qui m'intéressaient de la Deauty Box de janvier en janvier justement, donc je vous renvoie à mon post de l'époque.

Over and out.

samedi 9 février 2013

Lucha Loco

Loutre Agile et Macaroni sont des amies fantastiques qui me connaissent tellement bien qu'elles entretiennent la douce folie dans laquelle je baigne.

Pour mon anniversaire de 2012, j'ai reçu de leur part le canevas "je suis une princesse et je vous emmerde" en rose pète et or, qui trône à côté de ma hache Fiskars. Ce n'était bien évidemment que la première partie de leurs offrandes pour ma noble et divine personne.

La seconde, je l'ai reçue il y a peu. Dans un joli emballage avec de petits papillons vert scintillants m'attendait ceci:



"Ce livre a été édité pour toi spécifiquement" m'a dit Loutre Agile. Je ne sais pas trop par contre si elles s'étaient souvenues de ce billet (j'en doute), ou si elles ont de fait vu ce livre et se sont alors écriées "ce sera parfait, c'est tout elle".

Mais qu'est-ce donc que cette étrange ouvrage? 

Lucha Loco est un recueil de très belles photos de catcheurs mexicains dont la particularité est de porter un masque. Les luchadores se sont aussi décrit en une seul courte phrase drôle, impertinente ou même touchante.

Si Lucha Loco est certes hilarant en première lecture, c'est aussi une fenêtre ouverte sur ce monde à part qu'est le catch mexicain. Mis à part les pro américains de la WWF, une grosse majorité des combattants ne sont en fait que des personnes comme vous et moi, peut-être juste un peu plus musclées, qui exerce un "vrai" travail et se transforme le temps d'une soirée de folie. Ils deviennent alors ce qu'ils ont toujours voulu être, se prennent pour des super héros, et échappent à la réalité pendant un bref instant de gloire.

L'approche de Malcolm Venville pour les photos a ceci de particulier que contrairement à ce que l'on pourrait croire, il n'a utilisé aucun décors, aucune mise en scène pour shooter ces lutteurs, mais un simple fond gris clair. Cette simplicité fait ressortir d'autant plus la force, la fragilité, la folie, l'humour ou même la violence des luchadores. 

Lucha Loco est en fait un très bel ouvrage touchant et très drôle à la fois, qui va bien plus loin que ce que sa couverture ne suggère. 

Alors encore merci les gonzes, c'est vraiment un super chouette cadeau!

jeudi 7 février 2013

Drive

Sun Stars: CHEF D'OEUVRE
(Aucune = daube finie / * = mauvais / ** = pas mal / *** = plutôt bon / **** = très bon / ***** = excellent, à ne pas rater!)
Année: 2011
Réalisé par Nicolas Winding Refn 
Avec Ryan Gosling, Carey Mulligan, Bryan Cranston, Albert Brooks, Ron Perlman, Oscar Isaac, Christina Hendricks, Kaden Leos



Je ne qualifie que rarement un film de chef d'oeuvre. Il faut que ledit film me touche très profondément, et ça, ça arrive extrêmement rarement. Ce fut le cas avec The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford, dont j'ai eu énormément de mal à faire la critique. C'est souvent comme ça, au plus un film m'émeut, au plus j'ai du mal à en parler.

Drive, on a pas été le voir au cinéma vu qu'on ne va plus au cinéma. Avec l'installation de pro qu'on a chez nous, braver les hordes de Gens nous parait sado-maso. Du coup, on la pris en Blu-ray, et tout comme Black Swan, ça fait un an qu'il croupit dans nos tiroirs. Mis à part le fait que le film avait gagné bonbon en récompenses, je ne connaissais absolument pas le sujet et je n'avais regardé aucune bande-annonce (ce que je fais de plus en plus souvent pour garder la surprise intacte). Je ne comprenais pas non plus cet engouement pour Gosling que je ne trouvais pas très beau avec ses yeux trop rapprochés. Du coup, je n'étais pas emballée plus que ça à l'idée de regarder Drive hier soir.

Et bien ce fut une claque. 

Parlons déjà de Gosling. Je comprend à présent cette vénération dont il est le sujet. Dans Drive, il ne joue pas, il est. Les émotions toutes en retenues du personnage sont incroyablement rendues par ce brillantissime acteur qui en un regard ou une très légère moue de la bouche, devient un jeune homme énamouré ou un tueur de sang froid. Et ce sourire. Un très léger bonheur qui vient fleurir sur ses lèvres, des yeux timides d'un bleu profond qui feraient fondre n'importe quelle nana, l'expression subtile d'un sentiment intense. Passons s'il vous plait sous silence son corps de divinité grecque, il n'est point nécessaire de baver ici. Le seul à pouvoir tenir la comparaison c'est mon Maguth à moi et son corps de joueur de FPS/MMORPG).



Mais Drive, qu'est-ce donc? De mon point de vue, c'est une très belle histoire d'amour dans un contexte très violent. Gosling interprète un jeune homme dont le nom ou le passé ne sera jamais évoqué. Pilote de voiture d'exception, il met ses talents au service d'Hollywood pour des cascades, travaille dans un garage, mais sert aussi de chauffeur lors de casses, le tout aidé par son employeur et sans doute seul "ami", Shannon, qui s'associe à une sorte de mafia locale pour un projet de voiture de course. Driver est un personnage taiseux, assez noir, avec une éthique bien à lui. La seule source de lumière qui viendra éclairer quelque peu sa vie est Irene, sa douce voisine, mère d'un petit garçon dont le père est en prison. Une étrange relation se tisse alors entre ces trois personnages solitaires, jusqu'au jour où le mari d'Irene sort de prison. La vie de tous ces personnages va alors changer drastiquement et dramatiquement, et la noirceur au coeur de Driver sera leur seul alliée. 



Le film ne sombre jamais dans l'excès, ce qui le sauve de l'étiquette "film de gangster panpan boumboum". La profondeur du personnage principal, sa retenue tout comme sa violence en font un héros atypique. Tout cela s'exprime à la perfection dans la scène de l’ascenseur: une scène d'une beauté inouïe (mise en place des acteurs, éclairage, ralenti), un des plus beau baiser du cinéma, mais aussi et surtout le point charnière de tout le film.



Les personnages secondaires sont bien sûr tout aussi important. Irene (Carrey Mulligan, splendide, j'adore cette actrice depuis que je l'ai vue dans Shame) qui représente la vie et la douceur et ce que Driver pourrait devenir si il était avec elle; Shannon (Bryan Cranston), le pauvre gars qui n'a jamais eu de chance et qui met tous ses espoirs en Driver; Standard (Oscar Isaac), le mari d'Irene, qui espère que cette seconde chance sera la bonne; les truands Nino (vive Ron Perlman!) et Bernie (Albert brooks), ce dernier tuant de manière peu conventionnelle et assez salement.

La mise en scène, le montage, la lumière, la photo et la bande son sont aussi ce qui donne son identité propre à Drive, et ce jusqu'au lettrage du titre du film en rose fluo et en caractère plutôt digne de Flash Dance. Chaque scène a sa propre "existence", sa propre signification, qui apporte sa pierre à l'édifice de ce chef d'oeuvre. La joie de vivre, la tendresse et l'amour que l'on ressent dans la scène où Driver, Irene et son fils, Benecio, jouent dans un bosquet qui se trouve en fait à la sortie des égoûts de LA est incroyable. Le soleil y brille plus, les sacs poubelles pendus aux arbres en reflètent la chaude lumière, l'eau croupie devient un petit étang au bord duquel tout les espoirs sont permis, le tout rythmé par le morceau envoûtant de College & Electric Youth dont les paroles reflètent le moment présent. 

A l'inverse, la descente dans la noirceur, et si je puis m'exprimer ainsi, une des plus belles scènes de violence, est celle où Driver règle ses comptes avec Nino. J'en avais le souffle coupé.

Drive est donc pour moi un des rares film que je qualifie de chef d'oeuvre cinématographique, et un des plus beau film d'amour que j'ai vu (aux côtés de Bridges of Madison et Brokeback Mountain). Le personnage de Driver m'a profondément touché, Gosling m'a éblouie, et j'ai découvert un réalisateur de génie.



Des bonus du Blu-ray, je n'ai pour le moment regardé que le reportage de plus d'une heure sur le réalisateur, Nicolas Winding Refn, qui est de fait un sacré phénomène. On y apprend qu'il a été ruiné et endetté juqu'au cou, qu'il a un toujours voulu être célèbre, et que son égo, auparavant démesuré, a été un peu tempéré par sa défaite cuisante avant le succès de Drive. On y constate aussi que sa femme a un putain de caractère bien trempé. Son prochain film, Only Gods Forgive, avec Gosling également, semble déjà bien parti pour être un succès planétaire.

Bande-annonce de Drive (attention, gros spoiler dedans!)

Bienvenue ici ! Welcome !

Un joyeux bordel et un véritable mic-mac de ce que j'aime (ou pas), avec photo, jeux débiles, sondages navrants, bref, ma vie quoi ;) N'hésitez pas à laisser un p'tit mot!
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