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jeudi 31 mai 2012

Critique de film: The Help

Sun Stars: *** et 1/2*
(Aucune = daube finie / * = mauvais / ** = pas mal / *** = plutôt bon / **** = très bon / ***** = excellent, à ne pas rater!)
Année: 2011
Réalisé par Tate Taylor
Avec Viola Davis, Octavia Spencer, Emma Stone, Bryce Dallas Howard, Jessica Chastain, Sissy Spacek


C'était samedi dernier. Il faisait pétant d'chaud, je venais de finir le ménage et j'avais décidé que cette journée serait dédiée au cinéma (comprendre: au projo). Le soleil commençait à s'insinuer dans mon salon comme le sale sournois tout jaune qu'il est (et là si j'étais pas asiat' on me traiterait de raciste), et, avec un sourire carnassier, je lui fermais les rideaux doublés anti-chaleur à la gueule.

Installée bien au (quasi) frais dans mon salon avec une bouillote chaude et poilue nommée Lucy contre les jambes, je démarrais le film et me sentais bien. J'avais envie d'un bon film, drôle mais aussi touchant. The Help me paru un bon choix, non pas que je prête grande attention aux récompenses cinématographiques mais la bande-annonce m'avait donnée envie de le voir.

The Help - La Couleur des Sentiments en français - est l'adaptation du livre du même nom de Kathryn Stockett. Le synopsis est assez simple: nous sommes dans les années '60, en plein coeur du Mississippi. Dans la ville de Jackson, il est normal d'avoir sa bonne attitrée. Une bonne-à-tout-faire qui sera bien sûr afro-américaine et qu'il sera de bon ton de sous-payer, d'envoyer dehors faire ses besoins car utiliser les mêmes toilettes qu'elle risque de vous rendre malade, et de traiter comme une moins que rien. Ca ne choque personne. Ou presque.

Bryce Dallas Howard, magnifique dans son rôle de biatch, Octavia Spencer en cuisinière hors pair au caractère bien trempé et... Sissy Spacek (mais si, Carrie!!!) au milieu!

Skeeter est une jeune femme qui a de l'ambition. Elle ne veut pas, à contrario de ses amies embourgeoisées, rester à la maison à pondre des gamins alors qu'elle sort elle-même à peine de l'enfance. Elle veut devenir journaliste, ou écrivain. Ou les deux. Elle possède un grand sens moral et n'a pas sa langue en poche, ce qui à l'époque est plutôt un fléau pour une jeune fille bien. Elle se trouve de plus moche avec ses cheveux sauvages alors qu'il faudrait avoir dompté sa tignasse en des chignons compliqués ou des permanentes laquées à la limite de la plastification afin de pouvoir mettre la main sur un bon parti.

Dans les années'60, c'était un look affreux. De nos jours, les lunettes cat eye sont trop tendance

Fraîchement sortie de l'université et ayant décroché un petit job dans le journal local, Skeeter rejoint ses amies qu'elle n'a plus vue depuis plusieures années. C'est là qu'elle se heurte à cette vision de jeunes femmes aisées d'une superficialité exacerbée, la palme toute catégorie confondue revenant à Hilly Holbrook, responsable d'une collecte de fonds pour les pauvres enfants d'Afrique, mais traitant sa bonne comme une moins que rien.

 Une bombe à pouf a explosée dans le salon de Mémé.

Lentement mais sûrement, Skeeter va oser braver les interdits de l'époque, et surtout de l'Etat du Mississippi pour mettre sur pied un projet interdit: écrire un livre sur la vie de ces petites mains noires travaillant à l'ombre de ces riches blancs. Des amitiés naîtront, amitiés qui ne peuvent pas être en 1960, des rencontres se feront, et des scandales éclateront.

Si après ce film, vous n'avez pas envie de poulet frit, de cornbread, ou de bonne bouffe americaine bien roborative, c'est que vous n'êtes pas humain

The Help est un très beau film. Certes c'est un drame un peu tire-larmes avec des scènes un peu faciles (d'où mes 3 *** et demie), mais le tout est tellement bien emballé et présenté que l'on a envie de se laisser emporter par ces bons sentiments un peu gimauvesques.

La reconstitution des années '60 est évidemment magnifique, et on ne peut s'empêcher de penser à Mad Men et au personnage de Betty Drapper tant le stéréotype de la femme à la maison qui devra toujours être belle et tirée à quatre épingles est le même ici. C'est Skeeter qui fait figure d'ovni à ne vouloir qu'une chose: faire carrière au lieu de faire des bébés.

Les actrices sont bien évidemment plus qu'à la hauteur. On retrouve dans le rôle de Skeeter la très belle Emma Stone qui réussit à mêler douceur, éffronterie, révolte et ambition avec brio. Mais son personnage n'est qu'un faire-valoir pour trois autres actrices incroyables: Viola Davis, qui interprète Aibileen Clark, celle qui sera la première à accepter de parler à Skeeter; Octavia Spencer, absolument craquante et époustouflante en Minny Jackson, la meilleure cuisinière de Jackson, femme forte et de caractère qui doit lutter pour ne pas dire tout haut ce qu'elle pense tout bas; et Bryce Dallas Howard, effrayante de naturel dans son rôle de Hilly Holbrook. On ne peut pas ne pas parler de Jessica Chastain qui apporte un peu de fraîcheur au film avec son personnage mélancolique qui cache sa tristesse sous des sourires charmeurs et un comportement frivole.

Un regard suffit parfois à exprimer beaucoup de chose.

The Help est un film qui vous fera sourire, rire, pleurer, et qui vous laissera avec une drôle de sensation à la fin: certes, une révolution a été mise en marche par Skeeter, mais The Help nous laisse désemparées devant le futur encore bien noir de Aibileen et de Minny qui ne verront pas de changement décisifs avant de longues années.

En bonus sur le Blue-Ray, une rencontre entre des femmes ayant vécu ce que Minny et Aibileen ont vécu, et Octavia Spencer et Tate Taylor. Une interview qui nous rappelle que cette époque n'est vraiment pas si lointaine que ça.

mercredi 30 mai 2012

Nobody Owens

Maguth ayant oublié son livre à la maison l'autre jour, il s'en est racheté quelques un au boulot (comme quoi bosser à la Fnac, parfois ça a du bon) histoire de meubler le trajet en tram. Il est donc revenu avec le dernier tome du Trône de Fer format grand livre (alors qu'on avait dit qu'on attendait la sortie poche histoire de pas défigurer la biblio qui ressemble déjà plus à rien) qu'il a tenté de lire. Tenté parce que vu qu'il a lu les autres tomes il y a de ça des années-lumières, il ne se souvenait plus de rien et que du coup, (re)commencer au volume 13, c'était trash. Et ne me dites pas de regarder cette sous-merde qu'est la série HBO, merci bien hein!

Du coup, il a ouvert ce livre:


Et il en est tombé amoureux.

Et moi aussi.

Court résumé: par une nuit froide et brumeuse, le Jack se faufile dans une maison, et, armé d'un couteau à la lame éffilée, ôte la vie à une femme et un homme, ainsi que leur petite fille. Seul le petit frère, âgé d'à peine deux ans, réussi à s'échapper par miracle.

Miracle? Pas tant que ça! Ayant trouvé refuge dans le vieux cimetière de la ville, devenu parc naturel, c'est sous la protection singulière de ses habitants qu'il trouvera refuge, amour et affection. Je ne parle pas ici des fossoyeurs mais bien des résidents du cimetière: les morts.

Car ce petit garçon hors du commun se verra offrir une vie extraordinaire, élevé par un gentil couple de fantômes, les Owens, avec comme tuteur un étrange personnage répondant au nom de Silas, et comme amis, professeurs et voisins, les fantômes de toutes les autres tombes et autres êtres fantastiques. Et comme il ne ressemble à personne d'autre qu'à lui-même, il sera bâptisé Nobody (personne).

Déjà parlons du livre en tant qu'objet. Au fils des pages s'intercalent des dessins très fins, fragiles et romantiques presques, illustrant quelques passages de l'histoire sans jamais trop en dévoiler pour ne pas heurter la vision des personnages que le lecteur peut s'être fait.


L'histoire en elle-même touche donc au fantastique. Mais l'est-ce vraiment quand on s'appelle Nobody (Bod) Owens et qu'on vit dans un cimetière avec des fantômes pour parents, qu'on a une sorcière pour amie et un Silas comme tuteur? Cependant, Bod traverse l'enfance comme tout un chacun, avec les différentes phases que cela comporte, y compris l'envie de fugue adolescente et les premiers émois amoureux.

Ce livre est un petit trésor de tendresse, de poésie, de mélancolie et de fantastique dans tous les sens du terme. On tremble avec Bod quand il pénètre dans la plus vieille tombe du cimetière, on s'inquiète quand Silas part trop longtemps, on est content quand Miss Lupescu revient, et nom de Zeus qu'est-ce qu'on a la lippe toute tremblotante et les nyeux tout plein d'eau à la fin.

Ne vous y trompez pas, il n'y a rien de lugubre ici, juste un autre regard, beau et tendre, sur la mort, mais aussi sur la vie.

mardi 29 mai 2012

Critique de film: The Girl with the Dragon Tattoo

Sun Stars: non applicable
(Aucune = daube finie / * = mauvais / ** = pas mal / *** = plutôt bon / **** = très bon / ***** = excellent, à ne pas rater!)
Année: 2011
Réalisé par David Fincher
Avec Daniel Craig, Rooney Mara, Christopher Plummer, Stellan Skarsgard, Robin Wright


Comme vous le savez, Maguth et moi on ne va plus jamais au cinéma vu que dedans il y a plein de gens et que les gens, c'est le mal. Vu qu'on a en plus un projo à la maison, autant dire qu'on a un petit cinoch chez nous, on se farci par contre pas mal de sorties Blu-Ray donc vous étonnez pas si les films dont je vais parler à partir de dorénavant sont sorti au ciné depuis belle lurette. Ben oui, c'est comme ça, la vie parfois c'est une salope qui sent le plastique.

Bon, j'ai pas mis de Sun Star parce que pour moi, The Girl with a Dragon Tattoo n'est pas un mauvais film, mais n'a aucun intérêt. Aucun. Surtout si vous avez vu les (télé)films suédois.

Flash-back! Il y a quelques années de ça sortait en librairie la série Millenium. Ca déchaîna les masses. C'était Ze Book à lire. Bien que curieuse, je n'avais pas envie de claquer près de €60 pour 3 volumes d'une histoire qui ne me disait en fait pas grand chose. Je mis finalement la main sur les livres via ma 'tite Loutre et me mis à lire ce que tout le monde décrivait comme un super polar intergalactique écrit par un pauv' gars mort avant d'avoir pu connaître la gloire. J'ai plutôt bien aimé le premier tome, le personnage de Lisbeth étant très intéressant, mais les deux seconds m'ont emmerdée au plus haut point.

Ayant reçu gratos les DVD de Millenium version suédoise avec l'achat de je ne sais plus trop quoi, je découvris Noomi Rapace, qui non seulement a un nom totalement trop nickel chrome, mais est aussi absolument criante de vérité en Lisbeth, et Michael Nyqqvist interprétant un Mikael Blomkvist un peu plus "mou" que celui que j'avais en tête. Si le premier film était plutôt pas mal, les deux téléfilms suivants furent comme les livres: chiants et un peu pénibles.

Noomi Rapace en Lisbeth Salander. Parfaite.

Michael Nyqqvist en Blomkvist un peu mou du genou. Un type normal quoi.

Du coup, quand des rumeurs commencèrent à fuser sur une adaptation US des livres, mon sourcil gauche se souleva et ma bouche esquissa un sourire plutôt sardonique. On sait que les 'ricains sont plutôt fortich en remakes en tout genre, alors pourquoi pas après tout! Quand le nom de Daniel Craig fut révélé pour le rôle de Blomkvist, je me dit aussi "pourquoi pas?". Après tout, il a la classe qu'il faut pour interpréter un journaliste plutôt amateur de gonzesses, mais pourra t'il aussi être "banal"? Et quand on cita le nom de Rooney Mara pour le rôle de Lisbeth, je me suis dit.. heu non en fait je me suis rien dit du tout. Totalement inconnue au bataillon, on peut dire que ce fut le rôle de sa vie. Surtout quand, après avoir fait quelques petites recherches googlesque, on se rend compte qu'à son état naturel, elle est plutôt loin de Salander, et que bon quand même: elle s'est faite piecrée de partout pour le rôle (y compris le téton, hiiIIiiiii!!).

Rooney Mara en Lisbeth Salander. Un look un peu trop clip MTV-esque à vrai dire.

Daniel Craig en Blomkvist. Ha ben ouais tout d'suite c'est moins mou du g'nou! Ha non pardon, je me suis trompée de photo de film!


Et bien la version amérciaine  est ... et bien, une version américaine: tout y est plus beaudre, plus mieux éclairé, plus mieux habillé, plus mieux décoré, plus mieux maquillé, plus mieux... épuré!

Ici, Lisbeth ressemble à un top modèle pour magasine d'ado émo: elle est belle, sa coupe est bizarre mais nickel, ses fringues super bien coupées, bref, elle est canon. On a envie de se la faire grave derrière les fagots et/ou de lui ressembler, de lui envoyer une friend request et de l'inviter à ses soirées parce qu'elle claaaque, tu vois comment! Bref, on est très très loin de la vision de la Lisbeth du livre que j'avais : elle, on a plutôt envie de changer de trottoir quand on la voit, ce que Noomi Rapace réussissait brillament à faire transparaître.

L'une fait peur et a des cheveux gras, l'autre exude de sexyness et utilise Pantene... Chercher l'erreur.

Je dois aussi dire que voir un film tourné en Suède, mais avec des acteurs anglosaxons qui parlent anglais alors que tout le reste est en suédois, ça coince. J'ai eu l'impression pendant tout le film d'être le cul entre deux chaises. A chaque fois qu'il y avait une pancarte, un journal, une émission télé en suédois, paf, Daniel Craig se pointait, ouvrait la bouche, et mon cerveau buggait. Alors j'ai fini par me convaincre que je regardais un film suédois tourné avec un budget d'Hollywood doublé en anglais...

A côté de ça, on retrouve Stellan Skarsgard, qu'on a déjà vu 1.000 fois sans pouvoir se souvenir d'où exactement, et de me dire qu'il aurait été plutôt bien en Blomkvist aussi, lui! Robin Wright joue elle Erika Berger, et apporte encore plus de glamour hollywoodien au film qui n'en avait vraiment pas besoin.

[attention, cette partie de la critique comporte plusieurs spoilers si vous n'avez pas lu le livre]

A côté de ça, le film respecte plutôt bien le livre mais à quelques instants de la fin, ça part en sucette.

Déjà quand Blomkvist se fait choper par le vilain méchant (je dirai pas son nom au cas où des zyeux innocents glisseraient sur cette phrase), dans la version suédoise, il se fait vraiment pendre par le cou et tout ce qu'on peut dire, c'est que Nyqqvist/Blomkvist n'est pas glamour avec sa figure toute rouge et boursouflée, les yeux exorbités et le menton flasque au-dessus de la corde. Bien évidemment, hors de question de défigurer Craig/Blomkvist de cette manière, ce serait vilain pas bô pour Hollywood. Donc le meurtrier, ben il le pend mais avec un système complexe de cordes qui passe par une minerve en plastique, et, quand ça risque de devenir moins vendeur parce que bon, faut quand même un peu faire comprendre que Blomkvist va crever, il lui met un sac en plastoc sur la tronche, comme ça hop, pas de vilaine figure chiffonnée! Tadaaa!

Mais alors quand Mara/Lisbeth demande la permission de tuer à Blomkvist on grince des dents (mais pourquoi elle lui demande ça d'abord! Putain Lisbeth elle demande rien à personne, elle est forte et a sûrement pas besoin d'un beauf pour lui dire quoi faire!).

Et pour couronner la fin, lorsque l'on découvre que Harriet est en fait Anita qui vit à Londres et que Blomkvist l'a rencontrée lors de son enquête, là je dis stop. Pourquoi ce changement qui n'apporte rien de plus, en plus!

[fin du risque de spoilers]

Au final, The Girl with a Dragon Tattoo est un film qui se laisse regarder, qui n'est pas mauvais, mais qui franchement n'apporte rien au moulin étant sorti après la version suédoise qui a eu le temps de faire son chemin dans tous les lecteurs DVD. Bref, si vous avez aimé le livre, regardez plutôt la version suédoise.


mercredi 9 mai 2012

Heu...

C'est quoi cette assiette de garnitures? Il est où le steak? Les frites? La sauce?

Comment ça chuis au régime!? J'étais même pas au courant!



lundi 7 mai 2012

Ha!

J'ai eu une semaine de congé. C'était drôlement bien! On a vécu la vraie vie: se lever quand on veut, bouffer ce qu'on veut quand on veut (mon tour de taille en atteste), sortir quand on veut (on est pas sorti beaucoup) et glander quand on veut (on a beaucoup glandé), faire des siestes avec Poupouille couchée sur le ventre, aller dormir tard sans devoir se dire qu'on va pas pouvoir se lever à l'heure le lendemain, et balader Poupouille partout avec nous. La vraie vie quoi, comme elle devrait être sans même avoir bu de Coke Zero. Trop bien.

En vacances, Lucy a la lippe molle.

On avait pensé faire un city trip alors on est allé à Bruxelles, code postal 1000. Nous on est au 1180. Ben quoi!?

On a quand même eu le courage d'aller au Kinépolis en Cambio voir The Avengers mercredi soir. On aurait pu appelé ça "l'expédition" tellement on était fébriles à l'idée de sortir de l'appart'. On aurait dû éviter. Maguth a bien aimé le film, moi je l'ai trouvé mou et pas original (non, j'vous ferais même pas de critique, pas envie). Mais le pire était à venir. On est sorti de la salle à 23.45, le sac plein de bonbons, plutôt content, et on estimait être de retour à la maison pour minuit. On est rentré à 02.00 du mat'. L'autoroute était fermée pour cause de travaux, et on s'est retrouvé coincé dans un embout' mortel pendant 2 heures. 2 HEURES. A minuit! Mais c'est quoi ce monde dans lequel même à minuit en pleine semaine y a des files de gueux sur les routes!? Je vous parle même pas du self-control de ouf qu'il m'a fallu pour ne pas me transformer en Hulk. Celui de Avengers aurait paru mollasson à côté de moi. Même Maguth a failli exploser, mais je l'avais même pas remarqué vu qu'une arme nucléaire de destruction massive était en construction dans mon corps graisseux et que des moines bouddhistes coréens venus des profondeurs de mes origines asiatiques tentaient de calmer le jeu.



Mis à part ça, on a été mangé un burger au Balmoral et le milkshake du jour était au Nutella. Une Tuerie hyper spatiale! Sans parler du cupcake au cuberdon de Lilicup. Un véritable orgasme buccal.

Et aujourd'hui c'est le premier jour de retour au turbin, à se demander ce qu'on fout là bordel de merde. Ca pue le désespoir et les rêves brisés dans ce bureau...

Heureusement que Super Poupouille vole à mon secours dans sa cape mauve et rouge!

Bienvenue ici ! Welcome !

Un joyeux bordel et un véritable mic-mac de ce que j'aime (ou pas), avec photo, jeux débiles, sondages navrants, bref, ma vie quoi ;) N'hésitez pas à laisser un p'tit mot!
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